#afropunk fest
Afropunk Fest débarque à Paris! Non je la refais: AFROPUNK FEST DEBARQUE À PAAAAAARIIIIIIIIIIIIIIIS!!!!!
Une excellente nouvelle que je vous annonce. Vous ne voyez pas pourquoi? Laissez-moi vous expliquer.
Afropunkest un mouvement de rébellioncontretoutes les formes d’oppression, qu’elles soient liées aux origines, au sexe, au genreou à l’orientation sexuelle. Il s’agit de mettre en valeur nos spécificités individuelles pour former un groupe solide dans un but de partage et de soutien.Afropunk, étant un mouvement artistique, soutient la peinture, la musique, le cinéma et même la mode, entre autres.
Autrement dit, pour apprécier Afropunk dans sa profondeur, il faut faire preuve d’une très large ouverture d’esprit pour comprendre le monde et le discuter.
Ce qui me plaît chez Afropunk, c’est la volonté de promouvoir la culture underground. C’est ce qui m’a même motivé à faire ce blog. Parce que oui les médias mettent l’accent sur des artistes mainstreamqui n’apportent, dans le fond, rien de concret, tandis que d’autres se battent toute leur vie afin d’améliorer constamment leur maîtrise du domaine dans lequel ils excellent déjà. En plus, honnêtement, quel intérêt de parler d’artistes dont on sait déjà tout? Si ce n’est le fait qu’ils soient des personnalités publiques? Ah oui, les gossips… d’accord…
Enfin bref, je m’étale. L’Afropunk Festival à Paris est une première, non pas seulement pour la ville elle-même, mais pour l’Europe. Il s’agit en effet du premier festival organisé par le groupe en dehors des Etats-Unis. Ca rend l’événement encore plus je dirais… excitant!
Il se tiendra les samedi et dimanche 23 et 24 mai 2015, au Trianon. JadenetWillow Smith,Keziah JonesetLeon Bridges entre autres se produiront sur scène pour l’occasion. Outre la musique, des peintresetdessinateursnous montreront leurs talents en direct. Même le buffet (oui vous avez bien lu, il y aura À MANGER!) sera l’occasion de tester de nouvelles choses qui sortent de l’ordinaire.
J’espère sincèrement que vous vous y rendriez. Peut-être que l’on pourrait se voir, qui sait?
