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Accel World. Arita and Chiyuri spanking Kuroyukihime with a whip, a belt and a rod.

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7th page:

Haru’s last word: Do not twist it!

Last page:

Kuroyukihime: Do not even think to lower hands or sit down, Haru, is not the whole school will see how cute you are crying and the tail

////

«At this night Arita learned that excited Kuroyuki smells like vanilla, and sweaty smells like lemon»

Her thoughts: really?


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submissivegayfrenchboy:

09 / 12 / 2021

FRANÇAIS / FRENCH

Aujourd'hui je publie une histoire fictive personnelle écrite en collaboration avec l'auteur @writinggross. Celui-ci a un des meilleurs blogs sur Tumblr, car il est très original et créatif. Ses histoires traitent d'hommes gros, sales et puants qui dominent et humilient des mecs de leur âge ou plus jeune, mais généralement minces et soumis, ou qui deviennent soumis. J'adore - et je le lui ai déjà dit à de nombreuses reprises - la façon dont il arrive à rendre excitant les corps de mecs gros et suants.

Tout le monde n'est pas grand, musclé, et il y a différents types de beautés. Je trouve original d'avoir choisi de prendre des hommes dégoûtants dans le rôle du dominant car cela rend la relation avec son soumis encore plus dégradante pour le soumis : être amoureux ou obéir à un homme qui ressemble à un gros porc dégoûtant c'est vraiment être très bas dans l'échelle humaine, selon les critères de beauté actuelle. Pourtant, @writinggross nous montre avec un talent indéniable que les homes grands, musclés et puissants ne sont pas les seuls qui peuvent nous exciter pour leur côté dominateur. Nous sommes tous deux inspirés par le travail l'un de l'autre, je sais que mes histoires de toilette humaine l'ont inspirés, et je suis vraiment heureux d'avoir pu collaborer à cette histoire avec un auteur aussi talentueux. J'espère très sincèrement que cette collaboration pourra se renouveler : j'ai adoré écrire cette fiction !

Cette histoire change de mes histoires d'habitude où l'homme dominant est plutôt grand et musclé, un beau sportif, un jeune patron ou un riche homme supérieur. Dans cette histoire, un jeune homme d'une vingtaine d'années, plutôt petit et mince (mais même s'il est grand ça ne change pas grand chose à l'histoire) est séduit par le patron de son père, un homme bien plus gros et bien plus âgé que lui. J'ai choisi d'illustrer notre histoire avec des images d'hommes blancs, mais vous êtes libres d'imaginer les personnages avec la couleur de peau de votre choix. Le patron est censé être âgé entre 40 et 55 ans, mais là encore vous pouvez l'imaginer un peu plus jeune (35 ans) ou plus âgé (jusqu'à 65 ans).

N'hésitez pas à nous faire part de vos impressions car cette histoire nous a demandé du temps, mais nous y avons pris beaucoup de plaisir. Dites nous si vous voulez que nous renouvelons notre collaboration, en tout cas moi ce serait un vrai plaisir d'écrire une nouvelle histoire avec le talentueux auteur qu'est @writinggross. Bonne lecture !

❤️❤️

HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec @writinggross

- UNE HISTOIRE D'AMOUR DÉGOÛTANTE -

CHAPITRE 1 - UNE RELATION ÉTONNANTE

PARTIE PAR @writinggross

Preston tapote ses doigts sur ses genoux, puis serre sa main, puis la desserre et recommence à taper. Il ne veut pas avoir l'air trop nerveux, cela pourrait attirer l'attention sur lui. Il passe ses doigts dans ses cheveux. Ils lui arrivent au niveau de ses épaules, mais son père lui a dit de ne pas les couper, que ses cheveux faisaient partie de son attrait. Cela encadre joliment son visage, adoucissant ses traits et soulignant à quel point il est jeune. “M. Lewis aime les jeunes”, avait dit son père, “et petits et mignons”. Preston n'aimait pas penser à lui-même de cette façon, mais en tant que jeune homme de vingt ans sans tonus musculaire, il suppose qu'il comprend se que son père entend par là. Bien qu'il ne l'admettrait jamais à personne, une partie de lui avait espéré qu'un homme riche et plus âgé remarquerait à quel point il est faible et doux et voudrait prendre soin de lui. Mais pas comme ça. Il ne voulait pas que ce soit cet homme. Preston avait rencontré pour la première fois le patron de son père, M. Lewis, il y a environ un mois, lors d'un pique-nique familial organisé par l'entreprise. Il n'était pas obligé d'y aller, il n'est pas un enfant, mais la nourriture gratuite est la nourriture gratuite, et le fait qu'il vivait toujours à la maison signifiait qu'il était le bienvenu.

M. Lewis s'était présenté personnellement à Preston, ce dont son père avait été ravi, et n'avait pas quitté son côté pendant la majeure partie de l'événement. Preston pouvait sentir les yeux de l'homme obèse et chauve sur lui, sur chaque partie de son corps, mais il avait fait de son mieux pour rester poli. Il n'avait pas commenté l'odeur dégoûtante de son corps, ou les tâches sous les bras de son costume bleu marine, pas même lorsque l'homme n'arrêtait pas de mettre son bras autour de sa taille, serrant un peu trop fort et infestant Preston avec cette même puanteur. Respirer l'odeur des dents non brossées contre sa joue et son cou. Cela n'aurait pas eu d'importance s'il l'avait commenté, songea-t-il, car l'homme semblait presque fier de ses nombreuses odeurs. Il ne s'était pas retenu de péter ou d'éructer tout ce jour-là, même en souriant quand les gens autour de lui bâillonnaient et reculaient. Les employés ne semblaient pas en phase, et son père lui a dit plus tard que c'était exactement comme ça que M. Lewis était. Vous vous débrouillez avec, ou vous trouvez un autre travail. Son père savait que M. Lewis cherchait à développer davantage l'entreprise et pensait qu'il était resté très proche de Preston ce jour-là parce qu'il allait lui proposer un emploi. Ce n'était pas le cas.

Au lieu de cela, il avait appelé Preston un soir, environ trois semaines après le pique-nique, avec une offre totalement différente.

“Un rendez-vous galant ? Avec vous ?” avait dit Preston au téléphone, essayant de garder son dégoût au minimum. Il ne voulait rien dire qui puisse mettre en péril le travail de son père, mais en même temps, cet homme avait plus du double de son âge. Sans compter qu'il avait une mauvaise hygiène et un estomac si gros que Preston était surpris qu'il puisse se tenir debout, et encore moins se rendre à son bureau tous les jours.

MONSIEUR LEWIS (au téléphone) : “Vous viendrez. Si vous ne le faites pas, je devrai passer des appels téléphoniques troublants.”

C'est un coup de téléphone troublant, pensa Preston, mais il attendit que l'homme continue.

MONSIEUR LEWIS : “J'ai trouvé des anomalies dans la comptabilité de votre père. De l'argent manque. Beaucoup d'argent.”

PRESTON LIVETROY : « Mon père ne volerait pas d'argent ! Qu'est-ce qu'il en ferait même ? Je ne sais pas si vous vous en rendez compte, mais ma famille ne vit pas exactement une vie de luxe en ce moment.“

Il y eut un petit rire à l'autre bout du fil.

MONSIEUR LEWIS : « Peut-être que vous avez raison, mais ce sera quelque chose que les flics devront comprendre. Voulez-vous vraiment prendre le risque? Risquez que votre père aille en prison, et que vous et votre mère soyez dépendants à l'argent. Elle est allée en cure de désintoxication il y a quelques années. L'alcool et le jeu, n'est-ce pas ? Je me souviens que ton père quittait le travail plus tôt pour pouvoir la déposer. Avec tout ce nouveau stress et le manque d'argent, combien de temps pensez-vous qu'il faudrait avant qu'elle fasse une rechute complète ?”

Preston déglutit. Il ne savait pas quoi répondre à cela, mais il n'avait rien à dire. Son silence dit à l'homme tout ce qu'il avait besoin de savoir.

MONSIEUR LEWIS : “Dîner à sept heures vendredi prochain, je demanderai à quelqu'un de venir vous chercher.”

Preston a parlé à ses parents du rendez-vous galant et ils avaient été surpris, mais il a fait de son mieux pour les convaincre que c'était ce qu'il voulait. Sa famille avait assez enduré ces derniers temps, et il ne pouvait pas risquer d'humilier son père. Cela avait été étonnamment heureux pour lui. Confus par son choix de rendez-vous galant, certes, mais toujours heureux.

JOHN LIVETROY (père de Preston) : “Monsieur Lewis est un homme bon, il prend toujours soin de son personnel, ses employés”.

Preston se demanda si c'était vraiment vrai. Maintenant, le voici assis, seul à une table dans un restaurant dont il n'a jamais entendu parler, regardant un tableau accroché au mur qui a probablement coûté plus cher que ses frais de scolarité à l'université, attendant son rendez-vous. Enfin, près d'une demi-heure plus tard que Preston avait été contraint de se présenter, M. Lewis franchit les doubles portes. Il repère immédiatement Preston et passe devant l'hôtesse, qui ne semble pas si perturbée par son comportement grossier (peut-être qu'il est un habitué), et prend place. « Monsieur Lewis », dit Preston avec un hochement de tête. L'homme sourit, révélant ses dents jaunes. “Appelle-moi Joey. Après tout, toi et moi sommes sur le point de devenir extrêmement proches.” Preston frémit au commentaire, mais hoche la tête.

PRESTON LIVETROY : “Bonjour… Joey.”

MONSIEUR JOEY LEWIS : “C'est mieux.”

PARTIE PAR @submissivegayfrenchboy

Preston n'en revient pas. À vingt ans, le voilà en train de passer sa soirée au restaurant en étant le rendez-vous galant d'un gros homme d'une cinquantaine d'années, le patron de son propre père ! Il se sent humilié mais prend du courage quand il sait que Monsieur Joey Lewis menace de dénoncer son père à la police pour avoir volé de l'argent à l'entreprise. Preston comprend que sa jeunesse et sa beauté sont ses armes sur ce vieil homme gros qui se croit supérieur en raison de sa position de patron ainsi que de sa fortune. Il compte bien profiter du rendez-vous galant imposé par Monsieur Lewis pour mieux comprendre la situation de son père. Mais jusqu'où devra-t-il aller pour protéger sa famille ? En attendant, le voilà à table avec face à lui un homme au ventre si gros qu'il doit se reculer de la table pour avoir de la place. Preston pose sa main sur la table, et Monsieur Lewis se met à la prendre dans sa main, à la caresser tendrement.

JOEY LEWIS : “Ta main est si douce mon petit Preston. J'aime la caresser.”

PRESTON LIVETROY (rougissant) : “Je vous remercie Monsieur Lewis.”

MONSIEUR JOEY LEWIS : “Je t'ai dit de m'appeler Joey ! Ne recommence pas où je serais obligé de te punir… Hum.. Je m'imagine en train de donner la fessée à ton joli petit cul.. Ça nous ferai du bien à tous les deux je crois. … Ahahah!”

Preston cache sa gêne : le patron de son père vient-il à l'instant de lui faire part de son envie de lui donner une fessée ? Preston espère qu'aucun clients n'a entendue, et heureusement, ils sont dans un restaurant chic où les tables sont assez espacées les unes des autres. Le serveur finit par arriver, constate la différence d'âge et de physique entre les deux clients, et essaye de ne pas se concentrer sur ce point. Il demande à Preston son choix, qui lui répond qu'il prendra une salade en entrée et un petit poisson en plat. Le serveur demande ensuite à monsieur Joey Lewis ce qu'il veut prendre.

JOEY LEWIS : “Je vais prendre un poulet.”

LE SERVEUR : “Ce sera tout, Monsieur ?”

MONSIEUR LEWIS : “Bien sûr que non, imbécile ! Je prendrai le poulet en entrée, pendant que mon amant mangera sa salade. Vous rajouterez des œufs avec mon poulet. Je veut un poulet entier, évidement. Puis en plat je vais prendre une grosse côte de bœuf avec des choux sauce à l'ail ainsi que des pommes de terre grillées au fromage. Et en dessert, je prendrai une tarte aux pommes. Mon chéri, tu prendra un dessert ? Non ? Tu es sûr ? Bon alors je prendrai aussi une tarte au chocolat. Peut-être que mon amoureux voudra goûter mon gâteau. Et je ne parle pas que du gâteau au chocolat, ahhah !”

Pour flatter son riche client, le serveur fait exprès de rire à la blague embarassante de son client, et Monsieur Lewis se sent en confiance étant donné que tout le monde le traite en homme supérieur vu qu'il est un riche patron d'entreprise. Preston agit comme si la blague ne le dérangeait pas et qu'il était habitué à ça de la part de Monsieur Lewis, mais en vérité il est honteux d'être pris pour l'amant d'un vieil homme gros. Soudain, il se met à renifler une odeur. Cela sent la sueur et la merde, et Preston s'étonne de sentir une odeur nauséabonde dans ce lieu. Il demande à Monsieur Lewis s'il sent.

MONSIEUR LEWIS : “Cette odeur ? Peut-être que ce sont mes aisselles. Il faut dire que je ne me suis pas lavé avant de venir. Mis c'est vrai que ça sent un peu la merde. Ça doit venir du fait que je n'ai pas essuyé mon cul. Il faut dire que mon cul est si gros que parfois je ne le nettoie pas complément. Mais toi par contre si ça t'embête de sentir mon odeur de cul, sache que ça ne me dérangerai que tu deviennes mon essuyeur de cul. Je suis sûr que tu serais doué dans ce domaine. Ahah !”

Quel homme dégoûtant ! Le voilà qu'il assume sans honte ne pas s'être douché avant de venir ni avoir complétement essuyé son cul après avoir chié ! Chaque seconde passée auprès de cet homme est une torture, mais Preston doit faire semblant.

PRESTON LIVETROY :“Mais ce serait pour moi un grand honneur, "Joey”. Un homme aussi puissant et attirant que vous mérite d'être vénéré. Hélas, je suis sûr qu'un nombre important d'hommes et de femmes se battraient pour devenir votre essuyeur de cul, ou simplement pour pouvoir admirer votre beauté.“

MONSIEUR LEWIS : "Ma beauté ? Tu viens vraiment de dire que tu me trouves attirant ? Je veut dire, je sais que je suis magnifique mais euh.. qu'un jeune homme aussi mignon que toi le dises, ça me fait plaisir. Bien parlons un peu de toi, tu m'intéresse, Preston. Tu sais, cela fait longtemps que je te convoite. Enfin, j'avais envie d'être avec toi.”

Pendant un cours instant, Preston le trouverai presque attachant, quoique un peu bizarre d'avouer qu'il le regarde depuis longtemps. Mais Preston, qui s'en veut d'avoir été peut-être trop flatteur sur la beauté de Joey, remarque les traces de sueur autour des aisselles de Joey, remarque la graisse de son ventre, et se rappelle qu'il a encore de la merde au cul. Les plats finissent par arriver, et pendant que Preston mange délicatement sa salade, Joey Lewis mange son poulet avec les mains et fait du bruit en mastiquant son poulet. Il gobe les œufs, parle la bouche pleine, et se met à roter. Il approche ses doigts de la bouche de Preston, qui ne comprend pas ce qu'il veut.

MONSIEUR LEWIS : “Tu veut bien essuyer mes doigts plein de poulet, mon petit. Avec ta langue.”

Preston évite de regarder les clients qui commencent à murmurer autour d'eux, et se met à lécher les doigts de Joey. Joey demande à Preston de mieux sucer ses doigts, avec plus d'amour. Preston, malgré la honte, se met à sucer les doigts pleins de poulet en mimant une fellation. Cela excite Joey. Une fois ses doigts propres, il prend la main de Preston et y dépose un baiser. Mais Joey ne s'est pas essuyé la bouche et dépose du gras et de la sauce sur la main de Preston. Quand il le voit, Joey ordonne à Preston d'essuyer la graisse sur sa main en la léchant. Le dîner est une succession d'humiliations pour Preston. D'autant que, une fois le plat arrivé, Joey est très malpoli. Il se fiche des convenances, et se met à roter et péter bruyamment sans s'excuser. Il faut dire qu'il a pris un plat avec de l'oignon, du choix à l'ail, des pommes de terres grillées à l'œuf et au fromage… Bref, tout ce qui rend gazeux !

PARTIE PAR @writinggross

Une fois le dîner terminé, et Joey a effectivement fini ses deux desserts lui-même, Preston est soulagé. Il a fait de son mieux pour être le rendez-vous docile et accommodant, mais il atteint sa limite. Il a besoin de souffler. Il a besoin d'un moment pour respirer un air qui ne lui donne pas envie de vomir. Malheureusement, ce n'est pas dans les cartes pour lui ce soir. Après le retour du serveur avec la carte de crédit de Joey, Preston force un sourire.

PRESTON : “J'ai passé un moment merveilleux ce soir”, les mots ont un goût de cendre dans sa bouche, “nous devrions le refaire un jour.”

Joey sourit, et c'est une chose cruelle et laide.

JOEY LEWIS : « Oh, nous le ferons. Mais qui a dit que notre nuit était finie ? Comme nous nous amusons déjà beaucoup tous les deux, je dis que nous continuons les choses à l'étage. J'ai déjà réservé une suite pour la nuit.“

La peau de Preston commence le processus inconfortable de la première brûlure, puis de la glace. Il est allé dans beaucoup de bons restaurants et bars qui se trouvent à l'intérieur des hôtels, alors il s'est dit que Joey aimait juste la nourriture ici. Il n'y avait pas pensé.

PRESTON : "Bien que ça sonne bien, j'ai un cours tôt demain.”

JOEY LEWIS : “Je vais être honnête. J'ai dépensé beaucoup d'argent pour vous ce soir, même après tout ce que votre père voleur m'a coûté, alors que diriez-vous de montrer un peu de gratitude ?”

Preston hoche la tête. Il ne peut pas discuter avec ça. Ils prennent l'ascenseur à l'étage. Bien qu'il soit conçu pour accueillir six personnes, la graisse de Joey lui laissant à peine de l'espace pour bouger, Preston se sent claustrophobe. La suite, bien qu'elle ne soit pas la plus chic de l'hôtel, est bien plus agréable que partout où Preston avait séjourné auparavant. Contre le mur latéral se trouve un lit king-size avec des draps dorés brodés et beaucoup trop d'oreillers, un canapé vintage mais pas particulièrement confortable se trouve au pied du lit, et en face se trouve un bar bien approvisionné sous une gigantesque télévision. L'ensemble du mur du fond est composé d'une baie vitrée qui donne sur la plage. Oui, c'est de loin le plus bel endroit où il ait jamais séjourné. Joey, qui a dû le voir le regarder, dit : « Si vous aimez ça, attendez de voir où j'emmène mes trophées pour nos anniversaires.“

Preston déglutit. Il ne veut pas penser à ce que cela signifierait d'être dans une relation à long terme avec ce cochon, mais il ne peut pas empêcher la façon dont son estomac saute légèrement d'excitation. Il veut voir où Joey considère qu'il est assez bon pour organiser des célébrations. Il a toujours aimé les belles choses et entend en profiter.

Une main attrape son épaule et le fait tourner, et avant qu'il n'ait le temps de protester, il y a des lèvres humides sur les siennes et une langue qui serpente dans sa bouche. La langue de Joey touche la sienne et elle a un goût amer. Le goût ne fait que se renforcer lorsque l'homme suce la langue de Preston dans sa propre bouche, le forçant à lécher ses dents et à goûter chaque élément de son récent repas mélangé aux restes pourris de tout ce qu'il avait mangé au cours des derniers jours. Révolté, Preston essaie de s'éloigner, mais une grande main à l'arrière de sa tête le maintient en place. Le baiser continue jusqu'à ce que quelque chose bouge dans l'estomac de Joey et qu'il lâche un long rot acide dans la bouche de Preston. Il lâche prise et Preston commence à tousser dans sa manche, essayant simultanément d'essuyer la salive de sa bouche. Joey rit et se tapote le ventre.

JOEY LEWIS : "On dirait que ce repas fait son travail. On ferait mieux de commencer avant que j'aie besoin de faire une décharge.”

Preston grince des dents à la mention des déchets corporels dans ce qu'il suppose être un moment sensuel. Joey déboucle son pantalon et le laisse tomber par terre, avec son boxer, donnant à Preston la vue de ses cuisses épaisses et poilues. Ses parties génitales sont heureusement recouvertes d'un intestin gigantesque et affaissé.

JOEY LEWIS : “Tu ferais mieux de te déshabiller, gamin, ou je pourrais me sentir gêné.” Il fait un clin d'œil. Une fois qu'ils sont tous les deux nus, Joey donne à Preston un coup d'œil appréciatif, passant même sa main sur sa fine poitrine glabre.

Preston souhaite qu'il puisse être aussi excité, mais alors qu'il regarde le corps devant lui, tout ce qu'il remarque vraiment, ce sont les choses qui le dégoûtent. La sueur dégouline de sous chaque pli de graisse. Les cheveux noirs et épais qui dépassent de sous ses aisselles, dégageant une odeur aigre-pourrie. L'odeur des couilles salées et non lavées parvient à atteindre son nez depuis des endroits qu'il ne peut même pas encore voir. Avant même que Preston puisse commencer à considérer cet homme attirant, le gars a besoin d'une longue douche savonneuse.

« Je suis sale, n'est-ce pas ? » demande Joey, comme s'il lisait dans les pensées de son rendez-vous. “J'ai été très occupé la semaine dernière, à essayer de dissimuler les dégâts de votre père, et je n'étais pas sur le point d'annuler une réunion ou de manquer de sommeil juste pour votre confort. C'est un niveau de considération que vous devez gagner. Mais maintenant, je pense que j'en ai exagéré”, rit-il, “même moi, je ne veux pas me sentir en ce moment.”

Preston rit, le soulagement le rend étourdi. « Il est temps de prendre une douche. Nous pourrions même y aller ensemble », dit-il, espérant que les implications de son offre suffiraient à convaincre l'homme.

L'expression de Joey passe de contemplative à quelque chose de sombre et de sadique. « Tentant, mais j'ai une meilleure idée. » Il s'assoit sur le lit et s'allonge, révélant enfin sa grosse bite moisie.

JOEY LEWIS : « Tu vas me donner un bain de langue. » Le cœur de Preston tombe.

PRESTON : “Je suis censé faire quoi?”

JOEY LEWIS : “En commençant par mes pieds, puis mes aisselles, puis ma bite et mon cul. Tu vas me lécher avant que je te baise. Tu veut que je sois propre, nettoie moi”

Preston veut refuser. Pour crier sur l'homme. Pour récupérer ses vêtements, puis sortir de l'hôtel et retourner jusqu'à la maison de ses parents où il peut pleurer, jurer et vomir tout en sécurité dans sa chambre. Mais il ne fait rien de tout cela, car cela rendrait tout ce qu'il avait fait jusqu'à présent inutile. Son père irait en prison. Sa mère ferait une rechute. Il les aurait déçus. Preston tombe à genoux devant Joey et touche un de ses pieds. C'est humide de sueur et les semelles sont brunes et calleuses. Il le porte à ses lèvres et commence à sucer le gros orteil. Le goût est aigre et salé, et globalement rance, mais Preston déglutit et goûte le pied, et continue. Il suce chaque orteil individuellement, les ongles envahissants lui grattant la langue. De vieilles peluches de chaussettes humides se délogent d'entre les orteils et il les avale. Il vomit presque.

« Bon garçon », ronronne Joey au-dessus de lui, alors Preston passe au reste du pied. Il lèche le bas du pied, sentant chaque dur et dur sur cette langue. Il s'arrête pour les masser. Quand il a terminé, la saleté est partie - avalée, laissant la peau presque rose. Il répète ce processus sur l'autre pied. Quand il a fini, il a le souffle coupé, la bouche comme du papier de verre et les larmes aux yeux.

JOEY LEWIS : “Qu'est ce qui prend si longtemps? Lève-toi et viens ici !”

Preston se précipite sur le lit et voit Joey avoir les bras levés, les forêts noires en dessous en plein écran. L'intensité de l'odeur fait passer les yeux de Preston de simples larmes à des larmes jaillissantes, mais il se penche toujours et prend un léchage expérimental. Cela ne ressemble à rien de ce qu'il a connu auparavant. Le goût du vinaigre lui brûle la langue, et il n'est même plus sûr que l'air contienne plus d'oxygène, pas avec la façon dont sa tête tourne, mais il continue. Bientôt, la respiration de Joey s'accélère et l'homme commence à gémir.

« Oh, putain, ouais, bon garçon. C'est si bon »

Quelque chose remue dans le ventre de Preston. Il ne savait pas qu'il pouvait faire travailler un homme à ce point sans même toucher sa bite. Quelque chose à ce sujet excite Preston, et il n'hésite pas du tout sur la deuxième aisselle, allant même jusqu'à faire tournoyer sa langue, à la recherche de quelles taches de peau et quels types de coups de langue obtiennent la réponse la plus intense de la part du corps de Joey.

PARTIE PAR @submissivegayfrenchboy

La langue de Preston lèche les aisselles poilues, puantes de sueur et grasses et essayent de le faire avec dévotion pour ne pas que Joey se rende compte qu'en réalité, il est dégouté par ce qu'il a à faire. La sueur s'accumule dans sa bouche mais il avale tout. Mais Joey dit qu'il a besoin de pisser. Preston s'arrête de lécher l'aisselle et lui dit qu'il n'a qu'à aller aux toilettes pour pisser.

JOEY LEWIS : “Je suis trop lourd après tout ce que j'ai mangé, je n'aurais pas le temps de me lever, c'est une envie pressante. Il faut que pisse ici. Le plus simple est que je te pisse dans la bouche.”

Joey voit que Preston est si choqué qu'il ne réagit pas, alors il lui donne une claque pour le contraindre à obéir. Preston met sa bouche autour de la bite de Joey et un jet de pisse se retrouve dans sa gorge. Joey pousse un soupir de satisfaction tandis que Preston se retrouve avec la graisse du ventre puant de Joey sur son visage. Sa tête est enfoncé dans les plus du gros ventre et les grosses mains de Joey poussent la tête de Preston sur la bite de Joey pour qu'il soit contraint de boire toute la pisse. Preston ne pensait pas que Joey pouvait lui faire faire des actes aussi dégradants : chaque fois qu'il croit avoir touchait le fond de ce qu'il y a de plus humiliant, Joey Lewis trouve encore une chose encore plus dégradante à faire à Preston. Preston a bu toute la pisse, il va boire un verre d'eau pour enlever l'odeur et le goût de la pisse dans sa bouche, et retourne au lit où Joey l'attend pour l'enculer.

Joey pénétre Preston, qui se retrouve écrasé sous le poids du gros corps puant et poilu de son “amant”. Il se forçe à dire qu'il aime cela, pour ne pas donner l'impression à Joey qu'en réalité, il n'apprécie pas qu'un gros homme plus vieux que lui profite de son corps jeune. Finalement, après avoir fait rebondir la graisse de son ventre contre Preston, Joey finit par éjaculer et par se rallonger. Il est si gros et lourd qu'il fait sursauter Preston du lit au moment où il se rallonge ! Finalement, épuisé, Joey prend Preston dans ses bras.

Durant la nuit, Joey sert Preston fort contre lui, l'embrasse ou lui rote au visage sans s'en rendre compte, et lâche des pets bruyants et nauséabonds, ce qui n'est pas étonnant étant donné qu'il a mangé de l'ail, de l'oignon, du choux, du fromage,… Bref des aliments puants qui le font péter ! Preston est trop faible pour se détacher de l'étreinte de Joey et passe la nuit à devoir respirer l'odeur corporel de son “amant”.

Le lendemain matin, le room service leur envoie un petit déjeuner, qu'ils dégustent comme s'ils formaient un jeune couple, et Preston insiste pour retourner chez ses parents maintenant que le rendez-vous galant est terminé. Il arrive à se comporter en jeune fille amoureuse, ce qui attendrit Joey qui laisse partir Preston avec la promesse que ce genre de soirée se refera. Joey croit-il sérieusement en ses chances avec Preston ou cache-t-il ses doutes derrière une fausse confiance en lui ? Preston l'ignore, mais en attendant, il doit sauver ses parents en empêchant Joey Lewis de dénoncer son père pour fraude, en attendant d'en savoir plus.

Preston prévient ses parents que le rendez-vous galant avec Monsieur Lewis s'est très bien passé, leur vante ses qualités, et leur fait comprendre qu'il commence à tomber amoureux de lui. Il ne leur révèle évidement pas toutes les choses humiliantes qu'il a dû faire, mais les parents de Preston, conscient de la fortune et de l'influence de Joey, laisse leur fils fréquenter le patron.

CHAPITRE 2 : UNE OFFRE INATTENDUE

Avec l'intention de trouver des informations sur le patron de son père, Preston se rend à l'entreprise de Monsieur Lewis. Officiellement, il accompagne son père, mais il demande à voir Monsieur Lewis. À la secrétaire qui semble surprise du jeune âge de Preston, il lui demande d'informer son patron que son “rendez-vous” est arrivé. Lorsqu'elle ouvre la porte du bureau de son patron, il a les jambes allongées sur un repose pieds et est en train de lire un journal. Il se croit trop supérieur pour travailler comme ses employés. C'est pourquoi il se repose et se détend. En voyant Preston derrière sa secrétaire, il lui fait signe de venir le rejoindre et de s'agenouiller à ses pieds. La secrétaire les laisse tranquille.

Seul dans le bureau, Preston espère trouver un moyen de faire diversion pour pouvoir vérifier si Monsieur Lewis dit la vérité à propos du vol de l'entreprise par son père, Monsieur Livetroy. Il constate alors que Monsieur Lewis est pieds nus et lui offre de lui masser les pieds.

“Je vois que tu as appris ta place”, lui répond Joey Lewis avec un air supérieur.

Preston commence à masser les pieds puants de Joey Lewis pendant que celui-ci reprend la lecture de son journal, ignorant la présence de Preston comme s'il était normal que le jeune fils d'un de ses employés lui massent les pieds ! Une demi heure passe pendant laquelle Preston masse du mieux qu'il peut les pieds de Joey Lewis, et n'hésite pas à donner des petits bisous aux orteils, ce qui pousse Joey à ordonner à Preston de lécher aussi les semelles de ses pieds. Au bout d'un moment, Joey veut aller manger, et va manger parmi ses employés en faisant exprès de les déranger avec ses bruits de bouche, ses rots et ses pets pendant qu'ils travaillent aussi ou qu'ils mangent.

Preston profite du fait que Joey est parti manger avec ses employés pour fouiller dans son ordinateur. Soudain, il se rend compte que Joey a presque finit de manger et décide de lui ramener un donuts en dessert, comme s'il voulait que Joey soit encore plus gros. Joey est content de voir l'empressement de Preston à vouloir lui faire plaisir.

Mais alors que Preston espérait que Joey fasse une sieste pour pouvoir fouiller encore dans son ordinateur, Joey lui demande de faire une promenade avec lui. Les autres employés commentent le rapprochement entre leur patron et le fils de Monsieur Livetroy, qui fait comme s'il ne se rendait pas compte que son fils sort avec le patron.

Plusieurs jours passent ainsi pendant lesquels Joey et Preston mangent et se promènent ensemble, et font l'amour le soir venu. Peu à peu, Preston commence à tomber amoureux, mais il doit absolument découvrir si le patron a dit la vérité à propos de son père. Il est en train de regarder l'ordinateur de Monsieur Lewis quand celui-ci arrive. Il le colle contre le mur et se met à le gifler violemment.

JOEY LEWIS : “Tu m'espionnes? Je ne te laisse plus le choix maintenant : si tu ne veut pas que je dénonce ton père, tu vas te marier avec moi !”

Voilà quelque chose auquel Preston ne se serait jamais attendu !

PARTIE PAR @writinggross

« Vous épouser ? » Preston est sous le choc. Il est vrai qu'il s'est retrouvé amoureux de cet homme, trouvant ses différentes odeurs excitantes ou réconfortantes, mais le mariage est un engagement énorme. Il aime leur relation actuelle, mais cela a toujours été un moyen pour parvenir à une fin. Un moyen de protéger sa famille. Bien que, pense-t-il, il ait également toujours prévu d'épouser un homme riche, et Joey promettait de ne jamais porter plainte contre son père. Il pensait qu'il épouserait un vieux gars riche vaguement tolérable pour son argent, pas par amour, et Joey pourrait être un moyen d'obtenir les deux. Il a fait de son mieux pour nier son attirance croissante. Il sait ce que penseront ses amis, ce que pensera la société en général. Joey est un homme vraiment repoussant. C'est ce qu'il pensait quand il l'a rencontré pour la première fois, et ce que tout le monde pense évidemment. Est-il vraiment prêt à faire quelque chose d'aussi humiliant que d'épouser un homme comme ça ? En gros, annoncer au monde que, qu'ils croient qu'il aime Joey ou non, il est prêt à avoir des relations sexuelles avec cet homme ?

PRESTON LIVETROY : « Oui, Joey. Bien sûr que je vais t'épouser.

JOEY LEWIS : « Tu veux être mon mari ? Prouve-le ». Il relâche son emprise sur Preston et prend du recul.

PRESTON LIVETROY : “Comment ?”

Joey sourit. Il laisse tomber son pantalon, puis ses sous-vêtements, et se penche sur son large bureau en acajou, mettant en valeur son gros cul poilu.

JOEY LEWIS : « Tu es un bon acteur, mais je vois le dégoût sur ton visage à chaque fois que je pète ou que je te dis que je vais chier. Si tu veux que je te croie, tu ferais mieux de te mettre à genoux et de manger mon gros cul sale.“

Preston déglutit. Il peut voir le trou poilu émerger d'entre ces fesses gigantesques. Il peut le sentir - rance et non lavé. Il ne veut pas faire ça, mais il n'a pas le choix. Pas seulement parce qu'il a besoin de protéger son père, mais aussi parce qu'il ne mentait pas vraiment. Il veut épouser Joey Lewis. Quoi qu'il en coûte. Il se met à genoux derrière l'homme, le visage brûlant et le nez rempli de la plus infecte odeur - comme de vieux pets mélangés à des pets frais mélangés à la puanteur de merde des toilettes d'une station-service - et plonge. Il enfonce son visage entre ces épaisses fesses jusqu'à ce qu'il puisse sentir l'anus poilu de l'homme battre contre ses lèvres. Il le lèche.

Le goût est pire que l'odeur. Preston n'est pas sûr qu'il y ait encore de la merde qui colle encore au pubis et il essaie de ne pas y penser. Le goût de la merde crue, mêlée de sueur et de musc agresse sa bouche. Il prend un autre coup de langue. Quelque chose remue dans ses tripes, puis dans son pantalon. Il a une érection. Preston est étourdi et dégouté, mais il est également excité. Ses genoux lui font mal à force d'être à genoux derrière le gros Joey, mais il pousse son visage jusqu'à ce que sa langue soit à l'intérieur de Joey, entrant et sortant. Lui enfonce sa langue le plus loin possible dans son cul puant. Joey gémit et ses fesses se tendent. Un pet rance éclate dans la bouche de Preston et il recule en toussant.

JOEY LEWIS : « Retournes-y. Tu es ici pour me faire plaisir. » Preston fait ce qu'on lui dit.

Il avale le pet suivant, son estomac se soulevant en signe de protestation, mais sa bite adore ça. Il défait son pantalon et commence à se toucher. Il gémit dans le cul de Joey. Il aime n'être qu'un lécheur de cul.

JOEY : "Assez. Enlève mes chaussures.”

Preston enlève les mocassins marron de Joey, puis enlève les chaussettes moites et blanches devenues grises. L'homme plus âgé appuie son pied nu et en sueur sur l'érection du plus jeune et le broie jusqu'à ce que Preston gémisse. Joey soulève son estomac, exhibant sa propre bite en érection.

JOEY LEWIS : “Suce moi !”

Preston prend volontiers le pénis épais dans sa bouche. Depuis leur premier rendez-vous, c'est devenu l'une de ses activités préférées. Eh bien, ça et lécher ses aisselles grasses. Il adore vénérer Joey. Son visage est entouré d'un gros ventre plein de graisse, Preston a son visage enfoui dans le pubis trempé de sueur de Joey, il peut à peine respirer, mais il s'en fiche. Il ne faut pas longtemps avant qu'ils jouissent tous les deux.

JOEY LEWIS : « Eh bien. Je suppose que nous ferions mieux de commencer les préparatifs du mariage. Va le dire à ton père.“

Preston s'extirpe de sous le gros ventre énorme de l'homme qui aime. Son visage et ses cheveux sont trempés et il sent comme l'odeur d'un vestiaire. Sa chemise bleue et son pantalon gris ont tous deux des tâches blanches fraîches : le sperme de Joey et le sien.

PRESTON LIVETROY : "Je vais juste me nettoyer d’abord.”

JOEY LEWIS : “Non. Tu iras comme ça.”

Preston ouvre la bouche pour discuter, mais le sourire narquois sinistre de Joey le pousse à se taire. “Je veux que tout le monde voie ce que je t'ai fait.”, lui dit Joey le gros pervers.

PARTIE PAR @submissivegayfrenchboy

Preston Livetroy n'a aucune envie d'être vu ainsi par ceux qui sont les collègues de son père, ou autrement dit les employés de celui qui sera peut-être son époux. Preston a les cheveux gras après avoir été sous l'énorme ventre bien gras de sueur de Joey, il a encore un peu du sperme de Joey au coin de la bouche, son haleine sent les pets car il a du respirer et avaler dans sa bouche les longs pets puants de Joey, et son nez est devenu marron car il a du renifler le cul de Joey qui était encore couvert de merde car il ne s'était pas assez essuyé la dernière fois qu'il a chié ! Autant dire qu'il n'a jamais été aussi dégradé. Preston ne voyait qu'une seule solution pour ne pas être vu : cacher son visage par ses mains et marcher le plus rapidement possible. Mais c'était sans compter sur Joey qui ouvrit la porte de son bureau et cria :

JOEY LEWIS : “Merci pour cette belle fellation mon amour, j'en avais bien besoin, mon petit lécheur de cul que j'aime de tout mon cœur ! J'ai hâte de te revoir pour qu'on passe l'amour toute la nuit comme tu aimes !”

Et juste après ça, il referma la porte de son bureau. Tous les regards s'étaient tournés vers Preston : quel drôle de façon, pensaient les employés, d'annoncer qu'il existait une relation amoureuse entre Joey et Preston. Ils étaient ravis de savoir qu'ils ne seraient plus les cibles de Joey, du moins espéraient ils que leur gros patron allait arrêter de leur roter ou péter au visage, ou bien de venir dans leurs bureaux juste pour laisser son odeur de sueur ! Cependant, lorsqu'ils virent le visage, ils ignoraient s'ils devaient être choqués ou dégoutés, s'ils devaient se moquer ou s'apitoyer sur le sort de Preston.

Il y eut donc des réactions assez différentes : certaines rirent bruyamment quand ils comprirent que la tâche marron était de la merde et que Preston était un vrai leche-cul, mais d'autres voulurent lui montrer un visage compatissant pour ne pas qu'il les dénoncent auprès de leur patron. D'autres encore se fichaient du visage de Preston, et considérer qu'il avait bien dû être consentant. Quoi qu'il en soit, Preston se dépêcha de rentrer chez lui. Il fallait maintenant qu'il annonce la demande en mariage de Joey Lewis à ses parents. Finalement, Joey l'appela le soir-même pour lui ordonner de l'inviter à venir chez lui pour annoncer lui-même à ses parents qu'il comptait épouser Preston.

Preston prévint ses parents que Monsieur Lewis allait passer à leur appartement. Monsieur Livetroy, le père de Preston, avait toujours adopté un comportement soumis envers son patron. Il ne désirait qu'être bien vu par monsieur Lewis et lui obéissait toujours. Il avait trop besoin de cet emploi pour oser se plaindre des odeurs corporelles de son patron. Quand Monsieur Lewis arriva à leur appartement, le père de Preston lui demanda s'il pouvait lui permettre de lui enlever son manteau pour l'aider. Monsieur Lewis trouvait cela normal étant donné qu'il était plus âgé et plus riche que Monsieur Livetroy soit obséquieux envers lui. Monsieur Livetroy n'arrêtait pas de dire “Qu'est ce que vous êtes bien habillé aujourd'hui, Monsieur Lewis” ou encore “C'est un si grand honneur de vous recevoir chez nous, cher patron”. Sa femme lui demanda ce qu'il voulait boire, et il lui demanda de ramener un verre de cognac pendant qu'il s'installa sur le large fauteuil qui était celui du père de Preston. Preston arriva.

JOEY LEWIS : “Ah, mon chéri, viens voir ton papa, fait lui un gros câlin. Tu m'as manqué.”

Le père de Preston fut surpris de voir que le “papa” dont parlait Monsieur Lewis était…. lui-même ! Joey Lewis tapa sa grosse cuisse et Preston, qui était léger en raison de sa minceur, comprit que le patron de son père voulait qu'il s'assoit sur ses cuisses. Cela était un peu embarassant de s'asseoir sur les cuisses de ce gros homme puant plus âgé que lui, en particulier devant ses parents. Mais il obéit.

JOEY LEWIS : “Je suis venu chez vous pour vous annoncer mon mariage. Oui, je vais me marier avec votre fils. Je ne vous demande pas la permission. Je sais qu'il en a très envie. Je l'aime et je vais le protéger et le faire vivre dans le luxe, et je sais que votre fils m'aime aussi.”

Pendant qu'il disait cela, Monsieur Lewis mit son doigt dans ses narines comme un gros dégoûtant et en sortit une crotte de nez qu'il mit directement dans la bouche de Preston pour le forcer à la manger. Ses parents firent comme s'ils n'avaient rien vu mais cela fut difficile de ne pas être surpris de savoir que leur fils d'une vingtaine d'années allait épouser par amour un homme plus âgé que lui, et surtout un gros pervers dégoûtant qui prenait plaisir à péter partout. Or, il est riche.

CHAPITRE 3 : UN MARIAGE HEUREUX

Preston ne fut pas surpris que ses parents accueillent aussi bien la nouvelle de son mariage avec Joey Lewis : son père pouvait espérer avoir une promption, et sa mère considérer que Joey Lewis est le meilleur époux que son fils puisse trouver. Joey Lewis est certes un gros homme dégoûtant, mais si son fils en est amoureux, pourquoi se priverait-il d'être avec un homme riche et influent ? Malgré le sincère amour qu'il avait commencé à ressentir pour Joey, Preston ne pouvait pas révéler à ses parents que Joey Lewis menaçait d'exposer le vol de l'entreprise qu'avait commis le père de Preston. Les amis de Preston furent sûrement personnes les plus surprises par l'annonce de son mariage avec Joey. Ils étaient contents que leur ami n'est pas à se battre contre sa famille pour qu'ils acceptent sa relation amoureuse avec un homme comme Joey, mais ils étaient quand même très étonnés du choix de Preston. Comment un jeune étudiant comme lui pouvait accepter aussi facilement de se marier avec un homme qui était si gros, qui pue autant ?

Il les convainquit que ce mariage était dicté par l'amour, et pas son envie d'être riche. Il leur fit comprendre qu'il aimait Joey plus que tout au monde. Cela paraissait difficile à croire pour les amis de Joey quand ils voyaient que Joey n'est pas gêné pour roter et péter partout où il va. De toute façon, ce qui les attristait le plus était de ne plus pouvoir revoir leur ami à l'université. En effet, en épousant un homme riche et connu comme Joey Lewis, Preston Livetroy ne pouvait plus poursuivre ses études sans être reconnu. Il renonça à ses études par amour, mais était toujours curieux d'apprendre des choses nouvelles, et rassura ses amis en leur disant qu'il les inviterait au luxueux appartement de Joey, et qu'ils pourraient venir dans la villa de Joey pendant les vacances. Cela convainquit les amis de Preston sur le fait que ce mariage devait absolument avoir lieu !

Preston prit beaucoup de plaisir à organiser le mariage. Il organisa cela assez rapidement, et tint à respecter la tradition : il avait celui quelque chose de bleu, quelque chose de neuf, quelque chose d'ancien, et quelque chose d'emprunté. Il portait donc un bracelet bleu, une veste blanche empruntée à un ami, un collier argenté qui lui venait d'un aïeul, et sa mère lui avait offert une nouvelle fleur à accrocher à sa veste. Il agissait clairement comme la femme dans le couple qu'il forme avec Joey, mais n'avait rien à faire des critiques. Preston était plein de grâce et de délicatesse, il marchait avec beaucoup de légèreté. Tout le contraire de la démarche de Joey qui avançait à pas lourds en laissant des pets derrière lui.

Au moment du baiser, après s'être juré fidélité (seul Preston avait juré obéissance à Joey, et Joey avait juré protection à Joey, ce qui montrait bien les rapports de soumission et de domination dans leur couple), Joey embrassa Preston dans un long baiser et lui rota doucement dans la bouche ! Heureusement, tout le monde applaudissait les mariés donc personne n'entendit que Preston venait d'avaler le rot de son nouveau mari. Il était ensuite temps d'aller manger et danser. Les personnes qui vinrent au mariage étaient les personnes qui approuvent le mariage entre Joey et Preston : tous ceux qui n'acceptaient pas leur mariage étaient restés chez eux.

Il ne pouvait y avoir de contraste plus saisissant qu'entre les proches des deux mariés, ce contraste étant le reflet des différences entre Joey et Preston. D'un côté, les proches de Preston, en dehors des membres de sa famille, étaient des gens jeunes, des amis d'enfance ou de lycée, et ceux qu'il avait rencontré à l'université. Joey, lui, n'avait pas pû inviter beaucoup de membres de famille, car certains étaient déjà morts. En revanche, il avait invité - en dehors de quelques uns de ses employés préférés et de ceux qui espéraient se faire bien voir de lui - des amis, âgés de 30 à 60 ans. Certains étaient gros, d'autres poilus, d'autres étaient musclés, d'autres encore avaient une forte odeur corporelle comme Joey Lewis : dans l'ensemble, les amis de Joey étaient surtout des ours ! Pourtant, plusieurs amis de Preston comprirent pourquoi leur ami avait pu tomber amoureux, ou en tout cas être attiré par les hommes gros et imposants. Aucun d'eux ne donnaient l'impression que leur apparence physique était importante, ils étaient juste drôles ou dominants. Certains venaient à la table des amis de Preston pour leur lâcher des rots ou des pets à la tête, en disant que c'était juste pour rire. Au début, les amis de Preston semblaient vraiment dégoutés. Mais au fur et à mesure, ils s'habituèrent à l'humour douteux des ours et désiraient qu'on leur rote à la tête !

Certains amis de Preston aimaient juste danser ou rigoler avec les amis de Joey, mais d'autres espéraient sincèrement qu'il se passe quelque chose. C'était le cas de Jessica, une amie de Preston, qui avait rattrapé le bouquet de fleurs de mariage qu'avait lancé Preston par dessus son épaule après la cérémonie, comme le veut la tradition. Elle n'avait désormais deux que pour Robert, un ami de Joey, d'une trentaine d'années et avec un gros ventre. Il rigolait beaucoup mais avec une attitude de macho. Elle le trouvait très attirant, et passa sa soirée à lui apporter des parts de gâteaux pour le nourrir et le rendre encore plus gros.

Michael, un ami hétérosexuel de Preston, passa la soirée du mariage à sucer et à se faire enculer par les gros ours, lui qui pensait ne jamais rien faire avec des hommes !

Ainsi, des couples se formèrent entre les amis de Joey et ceux de Preston : pour certains ce fut juste des relations sexuelles sans lendemain, et pour d'autres c'était le début d'une histoire d'amour, hétérosexuelle ou pas, ou même des relations amicales.

De son côté, Preston demanda en cadeau de mariage à son mari qu'il supprime les preuves du détournement de fond qu'avait fait son père. Entre deux rots, car il mangeait énormément, Joey répondit à Preston qu'il acceptait de le faire par amour pour lui. En vérité, ce serait assez simple de supprimer les preuves, tout simplement car il n'y avait jamais eu de détournement de fond !

Depuis le début, Joey avait manipulé Preston en faisant croire que son père avait volé de l'argent à l'entreprise. Mais il avait fait cela pour s'assurer d'avoir un partenaire sexuel régulier. Il ne se doutait pas qu'ils finiraient tous les deux par tombés amoureux. Mais Joey ne se voyait pas risquer son mariage avec un homme qui l'appréciait véritablement, sans être dégouté par son corps et ses odeurs corporelles, ni intéressé par sa fortune. Il savait aussi qu'il était l'homme parfait pour Preston. Il était temps désormais de penser à la nuit de noce.

JOEY LEWIS : “Oui c'est ça bébé, suce ma grosse bite je sais que tu aime ça, viens boire le lait que vas te donner ton papa chéri ! Oui, tu vas faire ça plusieurs heures sans t'arrêter, je veut pas jouir trop rapidement, je veut que tu me suce longtemps et convenablement ! Oohhh!!ohh oui fait bien tourner ta douce petite langue sur la bite de vrai mâle, c'est ça sur ma bite comme une sucette mon bébé ! Oh oui, maintenant suce mes couilles, suce les, oh oui hummmm, régale toi de la sueur de mes grosses couilles puantes, mon bébé ! Ta bouche est merveilleuse, je t'aime !”

Après que sa fellation ait bien excité son mari, Preston obéit à Joey qui lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le lit. Joey pénétra Preston, et son gros ventre rebondissait sur le dos de Preston pendant qu'il l'enculait. La baise dura longtemps car ils s'étaient retenus de faire l'amour pendant plus d'une semaine. C'était aussi la durée depuis laquelle Joey n'avait pas pris de douche. Autant dire que la sueur s'était accumulée et que Preston allait devoir lécher toute la sueur du corps de Joey. Celui ci finit par éjaculer en Preston et s'écroula de tout son poids sur le fragile jeune homme qu'il avait épousé. Ils s'embrassèrent pour s'endormir avant de profiter du corps l'un de l'autre. Preston et Joey n'avait jamais été aussi heureux quand s'endormant ce soir là dans les bras l'un de l'autre, enfin marié à l'homme fait pour eux.

Depuis leur mariage, Joey Lewis emmène Preston partout avec lui pour le montrer tel un trophée. Il est heureux d'avoir à ses côtés un très beau jeune homme. Le contraste entre les deux est saisissant : Joey Lewis est bien plus gros, bien plus âgé que son mari. Pourtant, personne n'ose critiquer leur couple en raison de la fortune et de l'influence de Joey Lewis qui a le pouvoir d'empêcher les critiques.

Le reste du temps, quand Preston Livetroy, qui doit maintenant porter le nom de son époux (car il en est légalement la propriété), n'est pas invité à des cérémonies en compagnie de son époux, il reste dans leur luxueux appartement où il nettoie et range les vêtements sales de son mari. Joey Lewis n'a pas changé ses habitudes : malgré sa richesse, il n'est pas dérangé par le fait de porter plusieurs jours de suite les mêmes chaussettes et les mêmes caleçons, les caleçons se retrouvent pleins de tâches jaunes et marrons car Joey ne s'essuie pas après avoir pissé et chié.

Preston est tellement amoureux de son époux, il ne supporte pas d'en être éloigné durant la journée : tous ce qui le dégoûtait au début chez Joey Lewis (son corps, son odeur, ses manières, ses flatulences, son langage, son attitude d'homme supérieur…) est maintenant ce qui l'attire, ce qui l'excite, ce qui le rend accro à son mari. Il en est fou amoureux, et aime tellement sa puanteur et sa sueur, l'odeur de ses pieds puants et ses pets. Comme il est seul la journée, il arrive que Preston, au lieu de les laver, mette une paire de chaussettes sales dans sa bouche pour en avaler les gouttes de sueur, et un caleçon sale sur sa tête pour respirer par le nez l'odeur du cul, des pets, des couilles et de la bite de son époux.

Quand Joey rentre à la maison, il embrasse de longues minutes Preston avant de jeter ses affaires partout dans la maison car il sait que son petit mari obéissant va tout ranger après. S'il a très faim - ce qui est souvent le cas - il passe directement à table pendant que son mari Preston le suce et lèche ses couilles, ou il lui lèche les pieds. Sinon, Joey peut vouloir passer un moment romantique en dînant en compagnie de son époux, qui bien sûr aura fait la cuisine et débarrasse la table, puis fait la vaisselle pendant que Joey se pose sur le canapé pour choisir ce qu'il veut voir à la télévision, imposant son choix à son époux.

Lorsqu'ils vont se coucher, Joey baise Preston et écrase son gros corps sur le mince et fragile petit Preston, qui aime être écrasé par son époux plus imposant que lui. Ensuite, Preston nettoie la bite de son mari pleine de sperme jusqu'à ce qu'il s'endorme. Sinon, si son mari dort sur le ventre, il lui lèche le cul. Mais il arrive très souvent à Preston de passer la nuit dans le cul de Joey : le cul de Joey est tellement gros et la tête de Preston est si petite que Preston reste coincé dans le cul de Joey ! La seule odeur qu'il peut respirer est celle du cul de Joey. Sous la couverture, l'odeur des pets, qui atteignent son nez directement, est conservée, ce qui fait qu'il renifle les pets de son mari dans tous les cas. Joey sue du cul, ce qui fait que Preston a le visage couvert de pets et de sueur de cul, mais il aime quand même cela car il sait que son mari apprécie de se faire lécher le cul dans son sommeil.

Sinon, les deux époux se font des câlins après le “bain de langue” que Preston donne à Joey en léchant son corps. Preston pose sa légère petite tête sur l'épaule de son mari, mais il arrive que sa tête tombe dans l'aisselle de son mari et que celui-ci referme son bras, ce qui fait que Preston passe la nuit la tête dans l'aisselle puante de Joey, qu'il embrasse et lèche. Preston, évidemment, adore aussi caresser et embrasser le gros ventre de Joey.

Malgré sa fortune, Joey Lewis a gardé des goûts simples. Il ne cherche pas à intégrer les milieux mondains et à être dans le luxe en permanence. Il aime bien gâter son mari, mais comme Preston doit être intégralement nu en sa présence, cela ne lui change rien. Joey exige de Preston qu'il soit toujours entièrement imberbe et propre : lui seul peut se permettre de suer et de sentir mauvais ! Parmi les goûts simples que Joey Lewis a conservé, il y a la pêche et le camping. Il continue de partir en forêt avec ses amis de longue date, qui, comme lui, sont tous devenus des hommes très gros et puants. Joey se sent bien entouré de ces hommes comme lui, qui rotent et pètent bruyamment sans s'excuser. Preston, lui, se sent toujours intimidé en présence de ces hommes masculins et puissants, qui sont plus grands ou plus gros que lui, ou les deux.

Quand Joey a présenté Preston à ses amis, il lui a ordonné de se dévêtir intégralement, pour qu'ils puissent tous admirer jalousement le joli corps que Joey peut embrasser, lécher, caresser ou même torturer selon son plaisir.

Il leur avait dit : “Vous voyez, Preston est à moi. Il ne me quittera jamais. Il m'est dévoué et son seul but est ma satisfaction. Comme je suis heureux de l'avoir dans ma vie. En plus, j'ai plus à me préoccuper du ménage, il fait tout dans l'appartement.”

Ses amis admirent Joey pour avoir réussi à être aimé d'un beau garçon qui n'est pas dérangé pas son corps immense et par ses odeurs corporelles. Eux aussi aimeraient bien être aimé d'un jeune garçon qui les verraient comme les plus beaux hommes du monde et seraient prêt à tout pour eux, même devenir leur papier toilette humain comme Preston l'est pour Joey, ou de renifler leurs pets et dire qu'ils sentent merveilleusement bon.

Un jour, Joey avait organisé un séjour en forêt avec ses amis. Preston portait les affaires, faisait à manger, masser les pieds, servait de repose pieds et devait rester nu. S'il voulait avoir chaud, il devait se blottir dans les bras de son mari. Il s'asseyait sur les genoux de son mari et passait ses bras autour du cou de Joey, ou alors Joey le prenait dans ses bras et le réchauffait. Les amis de Joey - tous gros et puants, certains poilus et d'autres moins voire pas du tout - aimaient péter ou roter sur le visage de Preston, avec l'accord de Joey qui rigolait beaucoup. À la fin du séjour, ils avaient décidés de ne lui donner à manger que s'il arrivait les yeux clos à deviner qui venait de lui péter au visage. Il avait droit de mettre son nez à l'intérieur du cul de celui qui lui avait péter au visage pour trouver plus rapidement. Et s'il n'y arrivais toujours pas, il pouvait lécher le cul de celui qui lui avait péter au visage. Tout cela n'était qu'un prétexte pour la bande de gros hommes pour se faire lécher le cul par un fragile jeune homme. Ils jouèrent au même jeu en lui faisant deviner à qui appartenaient les pieds et les aisselles qu'ils lui faisaient lécher et/ou renifler, pour leur plus grand plaisir.

La nuit, les hommes aimaient dormir avec Preston entre eux. Chaque nuit, deux hommes différents eurent l'autorisation de Joey de dormir dans la tente de Preston. Il était écrasé par les deux énormes ventres des hommes qui dormaient autour de lui. Parfois, ils voulaient placer leurs pieds sur le visage de Preston pendant son sommeil, ou alors l'un d'eux enculait Preston pendant que l'autre embrassait Preston sur la bouche. D'autres aimaient avoir leur cul leché pendant leur sommeil, et Preston passait sa nuit dans l'odeur des pets des amis de Joey.

L'âge de Joey et son alimentation grasse lui apportait des problèmes de santé cachés par son attitude dominante et son charisme. Preston était constamment excité par le corps de son mari, plein de gras et de sueur, et en était fou amoureux. Pourtant, il savait que la phrase “jusqu'à ce que le mort nous sépare” prononcée à son mariage n'était she trop vrai : comment survivrait-il à la perte de son époux ? Sans chercher à répondre à l'avance à cette question, il ne souhaitait que profiter du confort matériel apporté par la richesse de son mari, et surtout de ce sentiment de protection que lui apporte Joey. Quand à Joey, même si devant tout le monde il se montrait comme un homme sûr de lui, il était reconnaissant d'avoir pu épouser un jeune garçon qui l'accepte tel qu'il est, avec son gros corps puant et ses manières dégoûtantes. Qui aurait-pu croire qu'une relation amoureuse serait née entre ces deux êtres ? Eh bien, tout ceux qui croient en l'amour qui dépasse les apparences savent que l'on peut aimer qui l'on veut, et que tout arrive pour qui sait attendre. Tout le monde mérite d'être aimé.

FIN DE L'HISTOIRE

❤️❤️


ENGLISH / ANGLAIS

Today I’m posting a personal fictional story written in collaboration with the author @writinggross. This one has one of the best blogs on Tumblr because it is very quirky and creative. His stories are about fat, dirty, smelly men who dominate and humiliate guys their age or younger, but usually thin and submissive, or who become submissive. I love - and I’ve told him this many times before - the way he manages to make fat, sweaty guys’ bodies horny. Not everyone is tall, muscular, and there are different types of beauties. I find it original to have chosen to take disgusting men in the role of the dominant man because it makes the relationship with his submissive even more degrading for the submissive: to be in love or to obey a man who looks like a big disgusting pig is really to be very low in the human scale, according to the criteria of current beauty. Yet @writinggross shows us with undeniable talent that tall, muscular and powerful men aren’t the only ones who can turn us on for their domineering side.

We’re both inspired by each other’s work, I know my stories of human grooming have inspired him, and I’m really happy that I got to collaborate on this story with such a talented author. I sincerely hope that this collaboration can be renewed.

This story changes from my usual stories where the dominant man is rather tall and muscular, a handsome sportsman, a young boss or a rich superior man. In this story, a young man in his twenties, rather short and thin (but even if he is tall it does not change much to the story) is seduced by his father’s boss, a good man bigger and much older than him. I have chosen to illustrate our story with images of white men, but you are free to imagine the characters with any skin color you choose. The boss is supposed to be between 40 and 55 years old, but then again you can imagine him a little younger (35 years old) or older (up to 65 years old).

Do not hesitate to let us know your impressions because this story took a long time, but we had a lot of fun. Tell us if you want us to renew our collaboration, in any case I would be a real pleasure to write a new story with the talented author who is @writinggross. Good reading !

PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with @writinggross

- A DISGUSTING LOVE AFFAIR -

CHAPTER 1 - A STRANGE RELATIONSHIP

PART BY @writinggross

Preston taps his fingers on his knees, then clenches his hand, then unclenches it and starts tapping again. He doesn’t want to look too nervous, that might draw attention to him. He runs his fingers through his hair. It’s near his shoulders, but his dad told him not to cut it, that his hair was part of his appeal. It frames his face nicely, softening his features and emphasizing how young he is. “Mr Lewis likes young boys”, his father had said, “and small, and cute”. Preston didn’t like thinking of himself that way, but as a twenty-year-old with no muscle-tone, he supposed he could see it. Though he would never admit it to anyone, a part of him had hoped that a wealthy, older man would notice how weak and soft he is and want to take care of him. But not like this. He did not want it to be this man.

Preston had first met his father’s boss, Mr Lewis, about a month ago, at a family picnic the company was hosting. He didn’t have to go, he wasn’t a child, but free food is free food, and the fact that he still lived at home meant he was welcome. Mr Lewis had introduced himself to Preston personally, something his father had been thrilled about, and hadn’t left his side for most of the event. He could feel the obese, balding man’s eyes on him, on every part of his body, but he’d done his best to remain polite. He hadn’t commented on the disgusting B.O smell, or the pit-stains under the arms of his navy blue suit, not even when the man kept putting his arm around his waist, squeezing a little too tightly and infesting Preston with that same stench. Breathing the smell of unbrushed teeth against his cheek and neck. It wouldn’t have mattered if he had commented on it, he mused, as the man seeme

My smelly stinky rubber and corn-chip coral Keds. Worn barefoot at all times at size 5.5 USA.My smelly stinky rubber and corn-chip coral Keds. Worn barefoot at all times at size 5.5 USA.My smelly stinky rubber and corn-chip coral Keds. Worn barefoot at all times at size 5.5 USA.My smelly stinky rubber and corn-chip coral Keds. Worn barefoot at all times at size 5.5 USA.

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