“ A quand le jour ou une femme pourra parler avec les lèvres de son sexe? Ce jour là elle fera entendre toute la tristesse de son passé. Mais même ce jour là tu ne pourras pas comprendre car tu es un homme. ”
Les héros de Fukasaku partagent beaucoup de choses. Tout d'abord ce sont des morts en sursis. Brûlots nihilistes, le regard tourné vers l'intérieur ce n'est que quand le sang obstrue leurs yeux qu'ils reprennent goût à la vie. La femme y est une prostituée. Entre malchance et déterminisme social la femme héroïne termine dans un bordel. Dans leurs solitudes les âmes esseulées sont vouées à se rencontrer et chacun, la pute comme le caïd, devient l'îlot de l'autre. Dans le lit la pute devient femme et le caïd enfant. Puis l'enfant devient kamikaze et la mort qu'il porte en lui il la disperse aux quatre coins de la ville.
With the rollout of the new model of the Galaxy Note and a phone upgrade I’ve been waiting very patiently to cash in on, I finally got myself the mobile workstation I’ve wanted for years. I was nervous about the size of the stylus and sensitivity, but woof. My new baby blows my poor old Intuos out of the water, and the S Pen is the perfect size for my extraordinarily tiny hands.
I’ve been doing some pretty furious testing with art apps. I’m still blown away by how far digital art has come on mobile. As disappointed as I am that CSP isn’t on Android, I’ve absolutely fallen in love with ArtFlow (example: sepia tone sketch) and Infinite Painter (literally everything else). The former is extraordinarly similar to PaintTool Sai, and the latter is Clip Studio Paint’s little sibling with an emphasis on illustration and brush customizability. I uhhhhhh accidentally corrupted Infinite Painter app with a custom brush I made that had to be summarily ejected from my phone, but it’s been incredible having touch screen functionality and gesture commands.
