#chicklit
with love, DB! #societythings
Achille, Patrocle et ‘Hélène’
Chapitre quatre de mon roman 'Et puis y'a Moi.’ Je suis présentement à la recherche d'un béta lecteur car j'ai une base de l'histoire et plus que quelques chapitres à écrire pour arrivés à la fin du roman, mais j'aimerais d'autre regards pour amélioré mon travail.
Les opens sont les pires. J'haïs les faire. Pour la simple et bonne raison qu'y faut tout préparer, placer, prévoir, mais aussi s'assurer que les clients soient servis correctement. Comme si j'avais juste ça à faire.
Parce que tsé, je peux pas le dire à Réjanne, moi, que j'ai pas juste ça à faire m'assurer que son poulet (qui cuit déjà pendant trois heures en tout pour arriver à la cuisson voulue, hein!) soit 'bien cuit, pas de rose.’ Je veux bin que faut pas qu'il soit rose salmonelle là, mais rose cuit-juste-parfait s'est cuit pareil… Tu mourras pas là! J'ai un fucking resto à faire rouler, je suis pas le cuistot, ni la caissière. Bref. Ma job j'la fais juste parce que j'ai besoin d'l'argent, pas parce que j'aime les gens. Parce que les gens m'énervent beaucoup.
(…)
Gabriel a oublié un ’s’ à discussion et ça me gosse depuis t'à l'heure. J'entends le froissement de vêtements dans l'entrée, mais je me retourne pas tout de suite. Je me redresse un peu, pour faire comme si j'étais tout à fait à l'aise, mais for real, j'ai l'impression que le clavier va faire une réaction à l'eau tellement j'ai chaud.
-Comment ça tu veux pas venir souper? Tu nous aimes pas?!
Même si j'essaye, je suis pas capable d'empêcher mon cou de s'enfoncer entre mes épaules quand j'entends Sam se lamenter comme si c'était la fin du monde. Fronçant le nez à son accusation, je me retourne vers les deux gars… hommes?
-J'veux pas m'imposer…
-Extrait de Et puis y'a Moi
Chapitre 4
Extrait de chapitres encore brouillons
“Quand on passe à côté de Noah pour sortir -je suis Gabriel, j’ai pas choisi le chemin- je m’assure de pas le regarder, mais mon dos est droit, comme si le poids qui écrase mon cœur de le voir avec l’autre cruche même si y passe son temps à me texter pis m’appeler. Dans la vitre de la porte, quand Gabriel l’ouvre, je peux voir que, au moins, mon ex à la décence d’avoir un peu l’air piteux.” - Elsie Léveillé
La base des chapitres 4 et 5…
Elsie est la grande soeur. Le roc, la colle, la deuxième mère. Elsie c'est la grande soeur, pis une grande soeur, c'est aussi se rendre compte que ce qu'on fait pour les autres, ça nous reviendra probablement jamais, me le faire quand même.
Elsie c'est une amoureuse de la vie, brimer dans son amour, mais qui décide de continuer d'aimer quand même, parce que aimer c'est la seule chose qu'elle peut faire.
Elsie se rend compte que vivre pour les autres, c'est pas la chose à faire. Mais vivre pour elle, en se moment, c'est un peu trop. Donc elle vit pour sa mère, son frère, sa soeur. Elle vit pour Sam et Gabriel. Mais pour elle, ça va prendre un petit moment encore…
Et puis y'a Moi
Présentation de personnage
Nom: Elsie Isabelle Gauthier
Surnom: El ou Sisi
Âge: Varie entre 17 et 21 ans dans l'histoire.
Rôle:Protagoniste
Un peu plus sur ce personnage: Étudiante en littérature au cégep. Devrait prendre une chill pill une fois de temps en temps. L'aînée de sa famille. À clairement besoin de sommeil. Elle à un frère et une sœur de (respectivement) deux et cinq ans de plus jeune qu'elle.
Aime: Lire, la musique, les chocolats chauds.
Déteste: Parler à des inconnus, devoir présenter son opinion, lesestid'artichauds.
Ce qui la représente le mieux: Les lumières de fées qui encadre son lit dans sa chambre, et la tasse de thé décorative qui repose dans sa bibliiothèque, en thème avec sa série de roman préférée. Le toutou (Minho) fait en vieux bas très laid qui est un pirate.
Extrait:
J'aime pas les gens. S'ta dire que, oui. J'aime des gens, mais pas tous les gens. Ça me vient pas naturel, en vrai, d'apprécier les humains. Ils sont tous un peu bizarres. Certains te regardent fixement comme si tu leur avais volé un bonbon, ou interrompent un ébat sexuel -c'est jamais full clair- d'autres crachent par terre et reniflent tellement fort t'as l'impression qu'il se remue le cerveau avec l'air. Ou encore ceux qui commencent à te parler comme s'ils savaient pas que c'était pas bien de parler avec des étrangers. Et ils ont jamais l'air de savoir quand s'arrêter.
Ils savent pas, eux, si je suis pas une tueuse en série?! Ou moi si eux en sont? En plus, qu'est-ce que j'en ai à câlisser moi de ton nouveau moteur dans ta tondeuse?Euh-Rien.
Pas moi qui décide sur un coup de tête de commencer un chicklit…
(Je vais publier le premier chapitre avant la fin du mois si ça vous intéresse )
Et puis y’a Moi -M0rph3eus
En attendant vous pouvez aller voir la playlist