#écriture
The more I gave to others, the more I gave up on me. Giving is not always as good as greed wants you to perceive it. The more I got along well with others, the less I did with myself. I have traded my self-satisfaction for others’ phantom satisfaction of me. Since my arrival to where I am now, or think I am at least, life changed and I didn’t have to, I didn’t have to but I had. Life changed and even though I had changed accordingly, I was still the odd one out, it was I the stranger. I felt different and still do. But am I really different? Yes, I reckon. In accordance to my affiliations, my identity components and who I am, I am different. Different just like everyone else is, for everyone is different and that is what makes everyone the same.
Je vais dire une chose : j’haïs écrire du angst. Je suis littéralement en train de ma tirer les cheveux pour finir une scène super importante de mon roman, et ça va faire deux mois que je suis pris dessus. Heureusement après je peux faire juste du fluff parce que c’est mon livre et je fais ce que je veux.
Aussi, ceux qui écrivez juste du angst sont de sadiques.
Merci d’être venu à mon TEDtalk.
Surprise!!
Est-ce que j'ai décidé d'écrire une romance de Noël? Effectivement!
Pour ceux qui sont intéressés, je vais commencer la publication ce lundi treize (13) décembre, et la publication se fera tout les jours jusqu'au vingt-trois (23) décembre pour faire un total de dix jours, donc dix chapitres. LA publication se fera sur Wattpad (vous pouvez me retrouver par mon handle a.k.a M0rph3eus) Il s'agit donc d'une Novella (ou mini roman comme j'aime les appeler) saisonnière que je fais simplement parce que l'université rend mon cerveau comme de la guimauve.
Il y a une playliste en construction pour cette romance également, et pour les curieux, je mettrai ici le quatrième de couverture.
Dans le but de sortir Justine de sa déprime saisonnière, Laurie, Maxime, Simon, Sarah et Gabrielle l'entraînent avec eux au chalet pour des vacances. Prise pour rester prisonnière entre quatre murs de bois mal isolés à manger des bines, du bacon, boire du vin et du chocolat chaud et passer ses journées à faire de la raquette et du ski, bref, à se les geler, Justine pense quand même passer de bons moments.
Plot twist: le grand frère de Gabrielle, sur qui Justine avait un œil au secondaire, accompagne sa sœur, et la nouvelle copine de Simon, qui n'a aucun point commun avec le groupe, se sont aussi ajouté au voyage. Mais ça changera rien au programme… pas vrai?
Achille, Patrocle et ‘Hélène’
Chapitre quatre de mon roman 'Et puis y'a Moi.’ Je suis présentement à la recherche d'un béta lecteur car j'ai une base de l'histoire et plus que quelques chapitres à écrire pour arrivés à la fin du roman, mais j'aimerais d'autre regards pour amélioré mon travail.
Les opens sont les pires. J'haïs les faire. Pour la simple et bonne raison qu'y faut tout préparer, placer, prévoir, mais aussi s'assurer que les clients soient servis correctement. Comme si j'avais juste ça à faire.
Parce que tsé, je peux pas le dire à Réjanne, moi, que j'ai pas juste ça à faire m'assurer que son poulet (qui cuit déjà pendant trois heures en tout pour arriver à la cuisson voulue, hein!) soit 'bien cuit, pas de rose.’ Je veux bin que faut pas qu'il soit rose salmonelle là, mais rose cuit-juste-parfait s'est cuit pareil… Tu mourras pas là! J'ai un fucking resto à faire rouler, je suis pas le cuistot, ni la caissière. Bref. Ma job j'la fais juste parce que j'ai besoin d'l'argent, pas parce que j'aime les gens. Parce que les gens m'énervent beaucoup.
(…)
Gabriel a oublié un ’s’ à discussion et ça me gosse depuis t'à l'heure. J'entends le froissement de vêtements dans l'entrée, mais je me retourne pas tout de suite. Je me redresse un peu, pour faire comme si j'étais tout à fait à l'aise, mais for real, j'ai l'impression que le clavier va faire une réaction à l'eau tellement j'ai chaud.
-Comment ça tu veux pas venir souper? Tu nous aimes pas?!
Même si j'essaye, je suis pas capable d'empêcher mon cou de s'enfoncer entre mes épaules quand j'entends Sam se lamenter comme si c'était la fin du monde. Fronçant le nez à son accusation, je me retourne vers les deux gars… hommes?
-J'veux pas m'imposer…
-Extrait de Et puis y'a Moi
Chapitre 4
Extrait de chapitres encore brouillons
“Quand on passe à côté de Noah pour sortir -je suis Gabriel, j’ai pas choisi le chemin- je m’assure de pas le regarder, mais mon dos est droit, comme si le poids qui écrase mon cœur de le voir avec l’autre cruche même si y passe son temps à me texter pis m’appeler. Dans la vitre de la porte, quand Gabriel l’ouvre, je peux voir que, au moins, mon ex à la décence d’avoir un peu l’air piteux.” - Elsie Léveillé
La base des chapitres 4 et 5…
Elsie est la grande soeur. Le roc, la colle, la deuxième mère. Elsie c'est la grande soeur, pis une grande soeur, c'est aussi se rendre compte que ce qu'on fait pour les autres, ça nous reviendra probablement jamais, me le faire quand même.
Elsie c'est une amoureuse de la vie, brimer dans son amour, mais qui décide de continuer d'aimer quand même, parce que aimer c'est la seule chose qu'elle peut faire.
Elsie se rend compte que vivre pour les autres, c'est pas la chose à faire. Mais vivre pour elle, en se moment, c'est un peu trop. Donc elle vit pour sa mère, son frère, sa soeur. Elle vit pour Sam et Gabriel. Mais pour elle, ça va prendre un petit moment encore…
Et puis y'a Moi
Présentation de personnage
Nom: Elsie Isabelle Gauthier
Surnom: El ou Sisi
Âge: Varie entre 17 et 21 ans dans l'histoire.
Rôle:Protagoniste
Un peu plus sur ce personnage: Étudiante en littérature au cégep. Devrait prendre une chill pill une fois de temps en temps. L'aînée de sa famille. À clairement besoin de sommeil. Elle à un frère et une sœur de (respectivement) deux et cinq ans de plus jeune qu'elle.
Aime: Lire, la musique, les chocolats chauds.
Déteste: Parler à des inconnus, devoir présenter son opinion, lesestid'artichauds.
Ce qui la représente le mieux: Les lumières de fées qui encadre son lit dans sa chambre, et la tasse de thé décorative qui repose dans sa bibliiothèque, en thème avec sa série de roman préférée. Le toutou (Minho) fait en vieux bas très laid qui est un pirate.
Extrait:
J'aime pas les gens. S'ta dire que, oui. J'aime des gens, mais pas tous les gens. Ça me vient pas naturel, en vrai, d'apprécier les humains. Ils sont tous un peu bizarres. Certains te regardent fixement comme si tu leur avais volé un bonbon, ou interrompent un ébat sexuel -c'est jamais full clair- d'autres crachent par terre et reniflent tellement fort t'as l'impression qu'il se remue le cerveau avec l'air. Ou encore ceux qui commencent à te parler comme s'ils savaient pas que c'était pas bien de parler avec des étrangers. Et ils ont jamais l'air de savoir quand s'arrêter.
Ils savent pas, eux, si je suis pas une tueuse en série?! Ou moi si eux en sont? En plus, qu'est-ce que j'en ai à câlisser moi de ton nouveau moteur dans ta tondeuse?Euh-Rien.
Pas moi qui décide sur un coup de tête de commencer un chicklit…
(Je vais publier le premier chapitre avant la fin du mois si ça vous intéresse )
Et puis y’a Moi -M0rph3eus
En attendant vous pouvez aller voir la playlist
Présentation des personnages
Esben (Ess-ven)
ALTPour ceux qui ne voient pas les images: Bleu, Panthère, Ragoût.
· Teenaged warrior (much grr)
· À l’air de vouloir te tuer, te tuerais probablement.
· Cauchemars mais also du genre à te réveiller de ton cauchemar.
· Est du genre à te donner son repas, mais faire la tête pour ne pas prendre la face.
· Cuddles all night long.
· Falling par The Civil Wars.™
· Bon avec les kids. (Genre papa bear)
· Porte toujours son bracelet marital parce qu’il tient toujours ses promesses.
· Est du genre à méthodiquement placer tout les objets de sa maison avant de pouvoir dormir.
Priya (Pri-ah)
ALTPour ceux qui ne voient pas les images: Jaune, Sourie, Tomates.
· Prendrait ta place si ça te fait sourire.
· Look like a cinnamon roll is actually a sinnamon roll.
· Peux tuer si mise en colère. (Ne pas mettre en colère)
· Devrait être mère, n’est pas mère, commit Sin.
· Brulerait le monde pour les gens qui lui tiennent à cœur.
· Te laisse dormir une heure de plus le matin
· I don’t feel like dancing™
· Spy.
Mirza (Mi-zah)
ALTPour ceux qui ne voient pas les images: Rouge, Ours, Le Keldam de sa mère
· Should not use knife.
· À l’air de vouloir te tuer, est innocent.
· À moitié sourd
· Préfèrerait dormir, mais va t’aider quand même
· Aime clouer des choses… juste clouer des choses.
· Pourrait écouter Esben jouer toute la journée, mais il travail…
· Aide à cuisiner si ça lui offre des baisers.
· Good with kids, not a child person.
· Love me like you do™
Les images ne m'appartiennent pas, je les aient trouvés, voici les liens. Ils ne sont pas pareil, mais je n'ai aucun talents en dessin et c'est le plus proche que j'ai trouvé…
https://www.pinterest.ca/pin/335307134763358961/
https://www.pinterest.ca/pin/849632285935163152/
https://www.instagram.com/p/CPWWlp-FB0Q/?utm_medium=share_sheet
Ahah! Prologue en ligne sur mon profil Wattpad. Je suis vraiment contente de ce qu’il est devenu après une grosse session de retravaille-ment (C’est pas un mot, mais je l’utilise quand même). J’ai passé l’été a refaire le prologue et quelques autres chapitres, donc ☺️ est mon mood en tout temps aujourd’hui!
Page de présentation
Il n’y a rien de pire que de se réveiller et se rendre compte que son cauchemar est devenu réalité. Pourtant, Esben devrait y être habitué. Survivant d’une première guerre dans laquelle il avait joué les médecins-soldats, il est maintenant forcé de retourner à ses anciennes habitudes afin de retrouver les êtres qui lui sont le plus chers.
Marié depuis moins de cinq cycles de saisons entières avec les deux âmes qu’il apprécie le plus, Esben était heureux. Avec sa petite maison au bord de la colline, surplombant légèrement l’océan, rien n’aurait pu le faire changer d’idée. Retrouver le calme suite à la guerre avait été difficile, maintenant, c’est redevenir un soldat qui lui pose problème. Et Kova, son lien -une panthère qui lui sert d’aide supposé spirituel- ne l’aide en aucun cas. Entre ses phrases cryptiques et ses crises de silence lorsqu’il s'offusque, Esben ne peut qu’être perdu. Est-ce que les dieux les ont abandonnés à leur sorts? Y en a-t-il seulement?
Et puis, est-ce que Mirza et Priya sont encore en vie, à cette heure?
Explications:
Et si on rêvait encore est une histoire que je peaufine depuis maintenant cinq ans, et que je continue de travailler afin de perfectionner. Maintenant qu’il ne reste qu’une fin concluante à trouver, je me suis rendue compte d’une grave erreur: la majorité de mes personnages n’ont aucune identité personnelle. Donc, suite à un grand débat avec moi-même à savoir si je devais tout supprimer et recommencer, j’ai fait le choix de seulement recommencer mon travail de révision pour peaufiner (encore) mes textes.
Ainsi donc ce blog sera dédié à la présentation, et avec un peu de chance, l’évolution de mes personnages et l’histoire qui les entoure en même temps, et peut-être trouverais-je quelques âmes intéresser à connaître la suite en chemin.
Chansons thèmes:
Far from home -Sam Tinnesz
‘I’m so far from home
So far from home’
'Cause out here in the darkness
And out of the light
If you get to me too late
Just know that I tried’
Tout oublié- Angèle feat. Roméo Elvis
'Tout, il faudrait tout oublier
Pour y croire, il faudrait tout oublier
On joue, mais là j'ai trop joué
Ce bonheur, si je le veux je l'aurai’
Extraits:
La lumière dorée du rare soleil d’automne rentrait par les quelques trous dans les rideaux des fenêtres. La journée parfaite pour célébrer la fête des morts. Il n’y avait plus aucun doute maintenant que les feuilles avaient commencé à tomber que l’automne était présent au village. Dans la maison, le calme régnait.
Esben se retourna sur le futon qui servait, à lui et à ses deux époux de lit. À ses côtés, Mirza dormait encore. Son corps nu pressé contre son épaule maintenant, Esben pouvait sentir chaque souffle chaud frôler son dos. L’ancien médecin passa une main dans les mèches détachées de son mari avant de tourner la tête de vers l’entrée. Mirza avait dû rouler pendant la nuit pour se coller contre Esben car le jeune homme se rappelait Priya, endormie entre eux la veille.
Sa présence dans la maison manquait, l’air frais qui se frappait contre le nez d’Esben en était la preuve. Sans doute que le brasier qu’elle avait allumé plus tôt à son réveil s’était éteint, refroidissant les alentours. Il pouvait sentir l’odeur du savon qui embaumait leur demeure, il devina qu’elle devait en préparer à l’extérieur. Une brise écarta la tapisserie qui leur avait servi de porte pour la nuit, laissant quelques feuilles rougies entrer, accompagnant le froid. Il devait vraiment réparer la porte avant que l’hiver n’arrive.
Les yeux fermés, Esben s’imagina plus tard de quelques mois, glissant ses mains sur le ventre de Priya doucement. Son pouce glissa doucement sur le tissu du vêtement de sa femme et il inspira longuement.
-Comment il va ? Questionna-t-il à mi-voix, tournant la tête vers Mirza qui observait l’horizon, ou l’océan, une tasse de thé fumante en main. Priya soupira doucement, déposant son autre main sur celles d’Esben sur son ventre.
-Hm… Grommela-t-elle dans un souffle, haussant les épaules. « Tu devrais aller le voir, peut-être que tu réussiras à le faire sourire… »
Esben embrassa la tempe de Priya avant de se détacher d’elle pour aller aux côtés de Mirza. La colline sur laquelle ils habitaient donnait directement sur la plage et le récif. C’était là que son mari s’était assis, le dos tourné à la maison, un épaule posée contre le mur de pierre à regarder l’océan dans ses allées et venues.
battle couples has gotta be one of my favorite tropes though. The “you got me?” “Yeah, I got you.” The kiss for good luck. Fighting alongside each other for so long they know every strength and weakness. The dichotomy of being fucking terrifying to their enemies, but so soft with each other. When one is in danger and the other goes feral,protects them at any cost.When everything is over and done, it’s all “let me see where you’re hurt,” and washing off the dirt and blood.
J’aime à penser que même si je ne te parle pas vraiment et que je ne te dis jamais rien, un peu de ce que je ressens tu l’as compris quand même. J’aime penser que parfois la nuit, sous la couette, dans la chaleur, avec l’écran bleuté de l’ordi qui illumine nos yeux, j’aime penser que tu lis de moi et un peu tu me comprends, et un peu tu comprends tout ce que j’aimerai te dire, mais qu’a la fin je ne te dis jamais.
