#citation

LIVE

« Des bras serrés autour de soi, ça soulage. On pourrait presque croire que ça va mieux quelquefois. Une minute d'air respirable. » - Marguerite Duras

Une larme…

Une larme, une seule,

Mais comme un océan,

Pour crier sa douleur

Et hurler à la mort.

Une larme, une seule,

Mais comme un océan,

Pour inonder son cœur

Et renaître à la vie !


Elisabeth Lafont

« Les émotions non exprimées ne meurent jamais. Elles sont enterrées vivantes et libérées plus tard de façon plus laides » - Sigmund Freud


《On a tout cassé. / Elle me manque terriblement. /Mais chut…》

“We broke everything. / I miss her terribly. / But quiet…”

 Deja que el mundo te cambie y podrás cambiar el mundo.

Deja que el mundo te cambie y podrás cambiar el mundo.


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Elle n’acceptait pas que ce fût une loi de la nature que l’individu soit toujours vaincu. Elle aussi en quelque façon, se rendait compte qu’elle était condamnée, tôt ou tard la Police de la Pensée la prendrait et la tuerait. Mais, d’un autre côté, elle pensait qu’il était possible de bâtir un monde secret dans lequel on pouvait vivre selon ses goûts. Tout ce qui était nécessaire, c’était de la chance, de l’habileté et de l’audace. Elle ne comprenait pas qu’il n’existait point de bonheur, que la seule victoire résidait dans l’avenir, longtemps après la mort et, que du moment que l’on avait déclaré la guerre au Parti, il valait mieux se considérer, tout de suite, comme un cadavre. 

1984 - George Orwell

 * Ils étaient assis côte à côte sur le parquet poussiéreux. Il l’attira plus près de lui. La tête de Julia reposait sur son épaule, le parfum agréable de sa chevelure dominait l’odeur de fiente de pigeon. “Elle est jeune, pensa t il, elle attend encore quelque chose de la vie. Elle ne comprend pas que pousser par dessus une falaise quelqu’un qui ne vous convient pas ne résout rien.”

1984 - George Orwell 

#LIGHT

“We are children of the light.”

ephesians 5:8

#PROTECTYANECK

“You best Protect your neck”

Wu-tang clan

#DREAMS

Dreams are illustrations… From the book your soul is writing about you.

Marsha Norman

#ONFIRE

“The roof, the roof, the roof is on fire. We don’t need no water, let the motherfucker burn…”

#FLEXIBILITY

“Je plie, et ne romps pas.”

JeanDeLafontaine

Ode à la déraison

« Ce qui est certain, c’est que le temps est long, dans ces conditions, et nous pousse à le meubler d’agissements qui, comment dire, qui peuvent à première vue paraître raisonnables, mais dont nous avons l’habitude. Tu me diras que c’est pour empecher notre raison de sombrer. C’est une affaire entendue. Mais n’erre-t-elle pas déjà dans la nuit permanente des grands fonds, voilà ce que je me demande parfois »


Samuel Beckett, En attendant Godot

Trou noir

Plus rien ne me fait rire.

Je passe mes journées à attendre la nuit pour me coucher et arrêter.

Tout en fait.

Je n'irai pas jusqu'à dire que je veux mettre fin à ma vie. J'aurais trop peur de rater quelque chose. Mais juste une pause. Une tout petite pause.

Disparaître un instant. Un mois peut-être. Un an.


Je ne pensais pas qu'on pouvait ne plus rien ressentir.

Et pourtant…

Je pense que l'indifférence est pire que la peine.

Rien ne me préoccupe. Rien ne m'importe.

J'observe sans rien penser.

Je te déteste.

Je te hais.

Si c’était à refaire jamais je ne t’aurais adressé la parole, jamais je ne t’aurais regardé, jamais je ne t’aurais laissé la chance de m’atteindre, pourquoi est ce qu’il a fallu que je t’aime ?


Je sais même plus ce que je ressens, j’avais rencontré ce mec là…Il est vraiment bien et je commençais vraiment à m’attacher, du moins c’est ce que je pensais. Au final tout ce que je retiens c’est que toi t’es passé à autre chose.

T’as pas le droit de me faire ça.

Je suis trop conne.

Je me déteste.

Je me hais.

C'est drôle, je pensais vraiment pas m'attacher cette fois.

Histoire de guerre

Tes draps sont les boucliers.

Tu m'enlaces, m'attrapes, me retournes.

Ton lit est le champ de bataille.

Tu descends tes mains dans mon dos, les fais danser sur ma peau.

Tes lèvres sont les tambours.

Tu me regardes, me respires, m'aspires.

Ton corps est le soldat.

Tu me tues, j'agonise de plaisir.

Sur un banc.

Je me suis assise seule et j'ai attendu.

Un truc extraordinaire qui me sortirait du quotidien. Une soucoupe qui m'emenerait au loin. Un garçon qui me prendrait par la main. Un crie qui guiderait mon chemin. Un trésor, une énigme, un parchemin.

Une pigeon s'est envolé.

Je me suis levée et m'en suis allée.

Pourquoi tu me fais ça putain.

Tout ce que je veux c'est que tu sortes de ma tête.

On danse ?

A toi qui m'a aimée le temps d'une soirée.

On s'est regardé, sourit, voulu, goûté. Tu as été mon amour d'ivresse. Et pour cela je te remercie.

A toi dont j'ai oublié le nom.

Qu'aurait dit l'enfant que j'étais de l'adulte que je deviens ?

23:12

Un matin je partirai sans savoir où.

Un matin je lui dirai qu’il me manque.

Un matin je quitterai tout sans leur dire.

Un matin je parlerai sans réfléchir.

Un matin je rencontrerai des inconnus.

Un matin je n’aurai plus envie de me coucher.

Un matin je ne penserai qu’à moi.

Ce soir j’attends le matin.

Je me surprends à repenser à toi. À sourire en imaginant ton visage. À espérer que nos regards se recroiseront un jour.

J'ai tendance à oublier les mauvais souvenirs.

Le seul qui me revient c'est qu'on s'est aimé.

Bon je comprends plus rien.

Je sais plus ce que je fais, ce que je veux, ce que je suis. 

C’est horrible de se dire qu’on ne se connaît plus soi même. 

Je veux juste tellement qu’on m’indique le chemin. 

Vraiment. 

Je n’ai jamais eu besoin d’aide, mais là je pense que l’heure est venue. 

J’ai besoin qu’on m’explique, qu’on me dirige, qu’on m’enseigne.

Me laissez pas seule.

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