“See ’Revolutions of the Night: The Enigma of Henry Darger’ for the latest and best cinematic treatment of Darger’s art and life” - ARTINFO.COM
‘Revolutions of the Night’ tells the story of the amazing discovery of Henry Darger’s secret world of writings, paintings, objects and collections, created and collected over decades in his one room apartment in Chicago: apocalyptic visions of an imaginary war-torn planet in which children are pursued and enslaved by a race of evil adults. Darger died unmourned in 1973 and was buried in a pauper’s grave. As far as anyone knew, he had led an anonymous and isolated life, doing so-called menial jobs in hospitals on the north side of Chicago.
'Revolutions of the Night’ takes us back to 1972 when Darger’s lifework was uncovered– and then almost destroyed. The film captures the story of how Darger’s work came to be saved from the trash, with eyewitness accounts of the very first people to enter Darger’s world, including neighbours, landlords, students, photographers, colleagues, filmmakers and psychiatrists.
Petite présentation (en français) du projet Solstices à l'occasion de la soirée au Biplan (Lille), le mercredi 18 mai 2014 (rogations et descente dans une t/caverne pour l'ascension…)
L'extrait musical est “Soul Vibrations” de Dorothy Ashby, tiré de l'album “Afro-Harping”, de 1968 (!).
“Une vie étrange commença pour Raoule de Vénérande, à partir de l'instant fatal où Jacques Silvert, lui cédant sa puissance d'homme amoureux, devint sa chose, une sorte d'être inerte qui se laissait aimer parce qu'il aimait lui-même d'une façon impuissante” (chap. VIII)
Le grand classique de la littérature décadente enfin dans une édition soignée…
Chef d'oeuvre de la littérature décadente publié en 1885, les Déliquescences sont devenues une référence en matière de pastiche.
Adoré Floupette est un provincial monté à Paris pour pénétrer les milieux les plus avant-gardistes de la poésie. Recheche d'un absolu poétique, sa vie est aussi le moyen pour Gabriel Vicaire de caricaturer les travers du monde littéraire fin-de-siècle : satanisme, opiomanie, femmes fatales, postures du spleen et excessivités du langage.
On y croise Verlaine, Péladan, Mallarmé, et bien d'autres.